• la manouche

    la manouche

     quand je l'ai vu la premiere fois,elle devait etre avec  sa grand mere ca elle etait accompagnée d'une tres vieille femme.
    je me promenais dans mon village  en cette fin d'automne ou deja le froid se faisait ressentir vivement.
    elles m'ont demandées le chemin de la mairie, elle devait avoir 14 ans a tout casser ,mais un corps de femme pulpeuse  pointait deja sous ses vetements.
    et ses vetements se resumaient a une mini jupe volante et un bustier, elle devait etre frigorifiée mais aucuns signes du froid mordant ne venait poindre sur sa peau.
     j'avais apercu un certains nombres de caravanes dans un champs un peu plus bas.
    nos regads se sont croisés ,j'ai de suite eté parcouru d'un long frisson tout le long de mon corps. elle n'etait ni belle ni moche mais j'ai senti mon coeur battre plus vite a cette instant.
     des jeunes qui revenaient de l'ecole nous ont croisé ,j'ai entendu des petits rires  de leur part .
    les manouches avaient toujours été sujets de discutions ou moqueries dans les villages.
    j'etais arrivé depuis pas tres longtemps ,apres une separation assez houleuse, et j'avais flashé sur une maison en bois .
    mon lieu ideal pour mediter sur le sens nouveau que devait prendre ma vie, se reconstruire  en meme temps que je retapais ma nouvelle demeure.
    " pas facile de debarquer avec vos caravanes dans les villages" je leur a fait.
    "la jeune fille m'a repondu d'une voix blasé" on a l'habitude"
    elle se tenait derriere sa grand mere ,legerement décalée.
    et a ma grande surprise elle me fixa droit dans les yeux et passa une main sur ses seins, volontairement ,de facon aguicheuse, passant la langue sur ses levres pulpeuses.
    j'ai legerement rougit devant le genant de la situation. et leur ai indiqué le chemin le plus court pour se rendre a la mairie.
    " si vous avez besoin de quoique ce soit ,moi j'habite un peu plus bas dans la seule maison en bois du village" ai je rajouté avant de partir.
    extremement troublé par ce qui venait de se derouler j' ai ecourté ma promenade ,risquant un coup d'oeil dans la direction des deux femmes qui s'eloignaient.
    l'adolescente s'etait retournée aussi, levant legerement sa mini jupe pou me devoiler sa culotte,qu'une ado ne devait pas porter.
    elle avait le corps et les dessous d'une femme.
    j'ai foncé chez moi,.
     ma maison etait simple,ni luxueuse, ni mitheuse. il y avait du travail a faire et  sans meme manger je me suis acharné a vider mon esprit de la scene que je venait de vivre. j'avais 40 ans bordel !!!
     je bricolais dehors malgrés le froid qui se faisait de plus en plus intense, sous le planchais de ma maison les pilotis sur lesquels elle etait posée,
     une trappe sur le coté m'avait permi  de me glisser sous ma demeure pour inspecter l'etait general des pilotis.
    je suis ressorti couvert de poussiere,satisfait de n'avoir rien trouver d'anormal ,qui aurait occasioner encore d'autre frais de restauration.
     je parvenais tans bien que mal a extirper ma carcasse de la trappe quand ,en relevant la tete j'ai apercu la jeune fille qui se tenais a quelques metres de ma maison.
    tres surpris de sa presence ,mais l'ayant desiré depuis que sa silouhette avait disparu de mon champs de vison,elle se tenait la ,devant moi.
     je me suis approché d'elle,on s'est sourit .
    "alors vous avez trouvé la mairie"?
    "oui"
    "vous avez besoi de quelques chose?"
    "oui j'aimerai vous parler.... a l'interieur".
    "....ah ..bien sur entrez".
     a peine passé la porte elle est venu se coller a moi ,tirant sur mon pull pour attirer ma bouche vers la sienne.
    je n'ai meme pas cherché a resister je l'ai embrassé a pleine bouche, ne cherchant pas a reflechir une seule seconde.
    ses seins etaient deja imposant pour son age, son corps laiteux etait gagné par des soubresauts quand mes mains le parcourait.
    deux heures plus tard elle repartait ,j'etais repu sexuellement, coupable,heureux.. tout ceci a la fois.
    le lendemain elle est revenu tot le matin, on s'est sauté dessus sans parler.
    elle m'a dit" filme moi"
    sans cherché a comprendre ni a repondre negativement j'ai pris mon camescope et je l'ai filmé.
     j'ai filmé son cul ,son corps,j'etais envouté par son impudeur et son vice.
    "suce moi " j'ai dis , a bout de souffle ,gorgé de desir.
    elle m'a sucé tellement violement que je n'ai pas pu me retenir longtemps, de grand jets son parti dans sa bouche.
     je ne debandais pas, comme dans le plus beau des reves erotiques ,on a baisé, toute la journee.
    et ce pendant les deux semaines qui ont suivit.
    on discutais , on riaient,on baisais, je filmais. et le soir elle repartais de plus en plus tard.
    je savais que tout ce petit jeu etait tres dangereux, mais je revivais avec cette gamine.
    un jour j'ai du m'absenter  tout un week end.
    elle n'a rien dit. comme si mon absence ne l'emouvait pas plus que ca.
    j'ai pensé a elle tout le week end.
     en revenant ,je suis passé devant le champs ou quelques semaines avant j'avais vu les caravanes.
     plus rien le champs etait vide. il ne restait qu'un tas de poubelles.
    les manouches avaient quitté les lieux. surement a la recherche d'un hiver plus doux  pour eux.
    j'ai senti les larmes me monter aux yeux, je suis rentré chez moi ,completement demoralisé.
     je me suis couché directement ,tout habillé et j'ai pleuré ,encore plus que lorsque ma femme m'a quitté. j'etais inconsolable.
     puis ,un peu avant 20h elle est entré dans la maison .
    je me suis redressé d'un bond sur mon lit."
    "t'es la?? mais ils sont tous parti"
    "pas moi ,et ne me pose pas de question, juste serre moi et prend moi"
    ce soir la  nous n'avons pas sorti le camescope. et peu avant 1 heure du matin elle est parti,du moins quand je me suis reveillé ,elle n'etais plus la.
     j"ai esperé son retour toute la matinée, j'avais le coeur serré,comme il peux se serrer quand on laisse un amour partir en train et qu'on reste sur le quai.
    j'avais repris lentement les travaux a l'exterieur de la maison malgrés le froid.
    il fallait que je retourne voir les pilotis sous la maisons,car j'entendais souvent du bruit qui provenais de sous la maison.
    a peine a genou pour entrer par la trappe qui menait sous la maison, j'ai apercu  des brin de pailles qui en depassaient.
     j'ai ouvert la trappe et me suis glissé, une epaisse couche de paille recouvrait  le sol.
    puis je l'ai trouvée ,avec tout ses vetements,elle semblait dormir le corps enveloppé dans une couverture.
    par ce froid glaciale c'etait de la folie,et vu l'etait des lieux elle devait s'etre installée sous ma maison depuis assez longtemps ,peut etre meme depuis le debut de notre histoire.
    " mon dieu qu'est ce que tu fais ici"
    je me suis approché d'elle ,j'etais petrifié,elle ne bougait pas ,ni respirait pas.
    j'ai su a ce moment la qu'elle etait morte de froid dans la nuit.
    toute se affaires etaient dans un sac plastique.
    'alors je me suis mis a pleuré sous ma maison, je me suis couché aupres de son glacé,raidi par le froid, raidi par la mort aussi.
     et j'ai continué a pleuré, toute la journée,serrant son corps comme pour le rechauffer.
    la nuit etait deja bien entamée quand je me suis endormi a bout de force, pres de son corps aussi glacé que le miens.


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