• fusillade hospitaliere

    bordel 6h20,fallait que je me leve malgrés cette énieme nuit sans sommeil. c'est fou moi qui'na jamais été sujet au moindre stress,j'arrétais pas de cogiter au moment du passage au lit et ,ce ,jusqu'au petit matin.

    encore une levée de corps difficile!! enfin c'etait vendredi et ce soir :au lit de bon heure avec un bon bouquin bien reposant sur les mort vivants.

    le matin tout etait a la seconde prét,meme le temps de fumer un megot devant les news de google etait compté.

    allez mec derniere journée ,soit un bon fonctionnaire,tu quitte tot le boulot ,tu te fais une petite ronflette d'une heure en rentrant et apres ca ira mieux. au pire tu te prends un petit xanax et tu ronfles bordel,ce soir c'est grosse putain de nuit!!

    mais c'etait dur,vraiment dur ce matin.

    stressless, pas vraiment, c'etait plutot bournout en perspective. et dire que mes vacances n'etaient que encore ,bien bien loin...

    j'ai mis le nez dehors quasiment a reculons. l'envie de retourner me pieuter etait grande,presque incontrollable.. mais non ,allez faut booster ,derniere ligne droite.

    le froid me donnait une impression de difficulté a respirer,limite d'oppression. jme suis assis au volant,j'ai reflechit dix seconde si j'allais pas me foutre en arret.

    et merde ,non faut y aller pis apres tout jsuis debout ,allez connard motive toi.

    ah fais chier,le pare brise etait gelé!! plus le temps de gratter tout ca,j'ai donc foutu le chauffage "glacial" a fond pour  voir si ca allait partir tout seul.

    essuies glaces a fond,lave vitres a gogo,je me suis élancé,sur mon pare brise un minuscule trou sans givre me permettait de voir la route. alors je me suis plié tans bien que mal,la gueule collée sur le volant pour mater a peu prés  le chemin qui se découvrait devant moi.

    fais chier,jvois que dalle ,putain!!

    a peine a 30 a l'heure,tu parles d'un springteur!!a ce train la jvais arriver a 9heures au taf!!

    j'etais deja énervé de mes nuits blanches et la c'etait le ponpon!

    cage toracique oppressée,souffle court,le pare brise s'est enfin déglacé et j'ai pu reprendre une position humaine dans ma voiture.

    15 minutes plus tard je glissais a grandes enjambées sur le parking de mon hosto,direction: le taf!!

    j'ai pas mal glissé sur le parking,j'en avais les jambes en coton,j'haletais comme un taureau poisseux de bave devant sa femelle.

    oula jme sentais pas super bien en fait,ca tournais,puis, j'ai commencé a suffoquer,puis devant les urgences de mon hosto ,je me suis écrouler comme une masse dans une flaque de glace.

    trou noir de quelques minutes....

    j'ai senti des bras me relever,on m'a porter et installé sur un brancard. je revenais peu a peu a moi. un pote brancardier me giflait la gueule sans prendre de gants.

    " hey david ,reveille toi ,hey reviens .... t'es la" " ah le revoila " a fait une voix derriere lui.

    a peine j'avais franchi le seuil des urgences que j'ai chuchoté:" crr crr crrise cardiaqueeeee"

    ca a commencé a bouger autour de moi,mon pote brancardier m'a tenu la main et m'a dit" t'inquiete pas ,t'es aux urgences,on va te prendre en main rapidement tu fais partie de la maison"

    j'lui ai repondu dans un rale interminable" dis aux collegues que que que, jsuis en train de mourir,jvais pas pouvoir travailler..."

    on m'a foutu dans un box,j'ai senti qu'on retirais mes fringues,mes éffluves de titanium rouge ont parfumées l'atmosphere rance du box des urgences.. au moins j'm'etais lavé,j'allais crever propre c'est deja ca.

    torse nu sur le brancar ,j'ai senti des électrodes se poser sur moi et le bruit d'un monitoring s'est fait entendre.

    " tout est normal niveau du coeur" a dis quelqu'un dans le box. je savais pas qui s'etait,yavait foule devant mon corps mourant.

    " crise d'angoisse,peut etre et malaise vagal" a dis quelqu'un d'autre.

    "VOUS VOUS SENTEZ OPPRESSE??"

    "ou..ou..o.ui"

    ON VA VOUS INJECTER UN DECONTRACTANT MUSCULAIRE  ET VOIR SI CA VA MIEUX,MAIS A PRIORI  YA RIEN DE GRAVE

    mais pourquoi elle gueulait comme ca cette fille j'etais pas sourd..

    "ok,ok,ok" j'ai fais.

    limite je me sentais deja mieux,du monde autour de moi,une chaleur rassurante d'hopital,j'avais presque envie de pioncer,mais alors pioncer ,comme une vache éreinté.

    j'ai une le droit a une piqure,plus une perf,de jsais pas quoi.

    on m'a laissé le monitoring,puis le petit monde s'est tiré,moi jme sentais mieux. bordel!! crise d'angoisse c'etait sur,surmenage c'etait certain!

    l'effet de l'injection s'est pas faite attendre,une molesse phenomenale m'a envahi. je planais presque.

    "allez bossez bande d'enfoiré,moi jsuis en train de presque crever aux urgences,caillez vous les couilles sans moi aujourdhui,toute facon jvais pas revenir de si tot"

    j'etais en train de me voir en longue vacances convalescentes sur mon canap a mater des films ,a bouquiner, quand le rideau du box s'est ouvert,c'etait mon pote brancardier.

    "alors ca va t'y mieux,putain tu nous a fais peur toi tu sais,jcroyais vraiment que tu nous faisais une crise cardiaque,on aurais été obligé de cacher ton corps ahahah"

    j'ai ouvert un peu la bouche,un torrent de bave a jaillit pour venir glisser le long de mon cou puis se loger dans mon oreille.

    je lui ai fais un signe d'approcher. il est venu coller son oreille a ma bouche pleine de bave:" connard,j'etais stressé,a moi les grandes vacances reposante maintenant".

    " ah ben tu vas mieux on dirais,tiens j'ai été dans ton service leur annoncer ta mort imminente,putain,j'ai vraiment cru que t'allais claquer la"

    " et comment ils ont reagi dans mon service" je parlais tout de suite mieux car j'avais hate de connaitre la reaction de mes collegues.

    " ben regarde y'en a qui sont venu te voir directement,qui ont tout laché pour te voir"

    j'ai levé la tete,effectivement ,ce con n'etais pas seul,j'esperais que personne n'avais entendu mon speech sur mes futurs grandes vacances reposantes... merde le con.

    ho yavait pas bousculade,certaines collegues preferaient continuer leur taf que de venir me voir clamser,mais ,ceci dit les principales etaient la,presque touchantes d'inquietude pour mon petit corps absolument pas refroidit.

    j'en ai rejouté un peu sur mon etat bien sur,fallait que je fasse pitié quand meme,qu'on me plaigne,me dorlotte et surtout fallait qu'on vois bien qu'il me fallait des putain de vacances!

    elles ne sont pas restées bien longtemps,pis j'en avais marre de baver dans mon oreille a chaque fois que j'ouvrais la bouche pour dire" vous inquietez pas ,demain je serais revenu" ( tu parles charles ,rien a foutre du taf ,je preferais les voir toutes dans mon canapé durant ma longue longue convalescence)

    un toubib est venu me voir ,ce qui a chassé les gonzesses qui pulullaient autour de mon corps brulant..

    "alors grosse frayeur,gros coup de stress monsieur L... mais ne vous inquietez pas,je pense qu'apres une periode de repos tout ira mieux ,mais il va falloir se detendre.

    en gros il m'annoncait officiellement que j'allais me les rouler un bon paquet de temps.

    "pour le moment on va vous garder ,ici encore quelques heures pour completer votre bilan de santé"

    (pas de probleme mon pote tout ce que tu veux du moment que ce soir jsuis dans mon canap)

    le toubib s'est tiré,une mignonne petite infirmiere est venu m'ausculer et me pomper... un litre de sang puis,son petit cul moulé dans sa blouse a quitté les lieux.

    j'ai regardé l'heure sur mon portable ca faisait deux heures que j'etais la,il etait 9h et demi petant.

    ouais 9 heure et demi pile poil l' heure ou j'ai entendu des éclats de voix dans le hall des urgences et a 9 heures 33 ,comme un con je me suis levé pour aller voir ce qu'il se passait.

    fallait vraiment etre con de faire ca,apres tout j'etais mourant.

    j'ai passé la tete par le rideau.

    un type tout en noir se tenait dos a moi et me masquait la vue.

    "qu'est ce qui se passe" que j'ai dit

    le type s'est retourné et a pointé un flingue pile poil devant mon nez. il etait 9h 38.

    (a suivre)

    - toi ,tu rentres dans ton box et tu te couches sur ton lit et tu bouges pas,sinon jte crame la gueule!!

    d'un rapide coup d'oeil j'ai vu que y'avait 3 gus tout en noir,style commando d'assaut,j'ai reculé,cette fois ci vraiment a la limite de la grosse crise cardiaque foudroyante.

    jme suis posé assis sur le lit,mon cerveau faisait mille tours minutes..

    pourquoi ils etaient la eux? une chose etait certaine ,c'etait pas des flics.

    a leur facon de parler,et leur aggressivité,j'ai bien compris qu'ils etaient completement determiné,mais ca ne repondait pas ,au pourquoi de leur presence.

    puis, ca s'est vite éclairé : la chambre carcerale!!!

    il y avait une chambre carcerale dans cet hosto,afin que les détenus de la prison d'a coté viennent se faire soigner quand leur etat necessitait une hospitalisation.

    la surveillance des flics n'etait dès lors que de deux gardiens devant la chambre,le truc ideale pour faire sortir un détenu.  pis apres tout ,qui attaquerais un hosto?

    "ils nous faut quelqu'un ,on va aller directement a la chambre,on a pas plus de  dix minutes avant que tout soit bouclé"

    mon rideau c'est ouvert ,pas de bol ,ce quelqu'un c'etait moi..

    la chemise de l'hopital sur le dos me recouvrait a peine le corps,a vrai dire j'avais le cul completement a l'air quand ils m'ont empoigné.

    "t'as quoi toi"

    "jsuis la pour crise cardiaque"

    " tu te fous de notre gueule, tu vas nous suivre ,et si tu fais ta crise cardiaque en route on aura pas a te descendre pauv con"

    jcrois que j'ai pas eu le choix que de les suivre.

    leur poigne d'acier me maintenait debout,je touchais a peine le sol tellement ils marchaient vite. un mec de chaque coté puis l'autre devant ,prés a buter le premier qui se mettrais en travers de leur chemin.

    au debut ,le regard incrédule des gens qu'on croisais se tournait vers moi,pensant que c'etait des flics qui venaient de ceuillir un pervers dans les urgences.

    ils ont vite déchanté ces gens quand ils se sont retrouvé avec un glock devant le nez.

    tiens, la ,c'est un pote de la manut,il me regarde en se planquant,la gueule qu'il fait ,on dirais qu'il est limite a se chier dessus. ah ,il vient de me reconnaitre,de ses yeux rond il me regarde,puis sourit legerement en voyant mon cul a l'air qui depasse de la chemise  d'hosto. .. pauvre con va...tu vas voir si jme fait pas descendre,jvais te faire manger tes palettes ..

    ce con est sorti de mon champ de vision,je pense que j'avais un peu le meme regard du mec de midnight express quand il se fait choper par les douanes turcs avant de monter dans l'avion. ouais les mecs jsuis le billy hays de caen.

    on s'est engouffré dans un ascenceur,direction le niveau 11 et sa chambre carcérale,comme j'avais bien deviné.

    ces mecs la comptaient faire sortir un prisonnier en employant la force si necessaire. je les voyais respirer vite,quelques gouttes de sueurs coulaient sur leur front.

    "on fais comme prévu,on hesite pas,dans 5 minutes on est dehors"

    cette fois ci,yavait plus qu'un mec qui me trainait ,les deux autres ouvraient la route,le premier avait un pistolet mitrailleur,le second,deux armes de point,et celui qui me trainait ,avait lui aussi deux armes de poing.

    ca sentais vraiment la mort lente ,a ce niveau 11,jcrois que j'avais de la chance que le mec me traine ,car j'aurais pas pu marcher. tout allait trop vite,et pourtant je voyais tout au ralenti. c'etait un reve,ca ne pouvait etre que ca,j'avais du m'éffrondrer dans cette flaque de glace et crever avant meme de toucher le sol.

    et la c'etait 3 mecs qui m'amenaient vers l'enfer,je ne voyais que ca...j'etais mort sur une flaque de glace,voila,car quand on y réflechi bien ,n'importe qui prefererait etre mort plutot que de se faire trainer dans tout un hopital le cul a l'air.

    jsuis mort ou je reve.

    les types se sont stoppés a l'embranchement d'un couloir,celui qui me trainait,se trouvait face a mort,son flingue collé a mon front.

    "toi ,si tu parle ,si tu bouges ,si tu tentes un truc ,tu vas sentir la poudre t'exploser dans la tete,t'as bien pigé?"

    j'ai commencé une phrase pour defendre ma carcasse d'animal devant la porte d'un abatoire. mais sans avoir eu le temps de la terminer ,je me suis retrouvé au milieu du couloir face a 3 flics ,avec en prime un canon sur la tempe.

    tout le monde se tenais en joue,les flics,les voyous,avec un pauvre mec au beau milieu de tout ca.

    "on lachera rien,si vous voulez que ca se passe bien,vous ouvrez la porte de la celule et on repars sans bobos pour personnes,depechez vous sinon ,on le bute!"

    les flics n'ont pas chercher a négocier,peut etre a la vue de la puissance de feu dont disposait le commando,ils ont posés leur flingue a terre et se sont reculés jusqu'au mur,sauf un qui a sorti un trousseau de clé afin d'ouvrir la porte.

    on a parcouru la distance rapidement pour n'etre qu'a quelques metres des flics et de la porte.

    un des mecs du commando a fait s'allonger les deux flics qui se trouvaient contre le mur,apres avoir pris soins de prendre leurs armes.

    j'etais au premiere loge,et plus ca évoluait ,plus je me disais que c'etait pas un reve ,ni un passage vers l'enfer,du moins pour le moment.

    ca fait vraiment bizarre d'etre une victime,un otage,je dirais meme que je me serais volontier pissé dessus. j'en oubliais mon cul a l'air.

    la porte s'est ouverte,le flic qui venait de déverouillé s'est reculé lui aussi.

    dés lors tout c'est accéléré. le premier type du commando s'est litteralement fait cribler de balle sans que personne n'y comprenne quoi que ce soit.

    il est tombé raide mort a mes pieds.

    un silence hallucinant est tombé comme une chappe de plomb sur le 11eme etage.

    mes oreilles boudonnaient,ca sentais la poudre,mon coeur allait flancher d'une seconde a l'autre,peut etre meme avant que l'autre appuie sur la detente pour de faire exploser la tete.

    "toi dedans tu lache ton flingue ou on bute tous tes collegues t'as deux secondes"

    pas de reponse.

    "on a un otage civil avec nous,regarde" a t'il dit en me postant devant la porte.

    le gars du commando etait derriere moi,s'abritant derriere le rampart de mon existance.

    devant moi se trouvait un vieux mec assis sur le lit,en tenue d'hopital,et derriere se gars se trouvait un flic armé d'un fusil automatique. le flic comme le vieux etaient blanc comme des morts. ca devait etre de meme pour tous les acteurs de cette tragedie qui ferait la une de tous les journaux de france.

    le flic semblait determiné,a tel point qu'il n'a pas hesité a mettre son arme automatique derriere la tete du vieux assis sur le lit.

    putain ,c'etait completement irréel.

    le flic m'a regardé fixement,comme si il voulait me faire passer un message.

    ho j'ai pas mis longtemps a capter son message,il voulait que je lui dégage la vue,il voulait que je ne sois plus dans son champs de tire aux pigeons.

    le mec derriere moi me tenait tellement fort qu'il m'etait impossible de m'en défaire.

    "lachez le " a dit le flic en me designant

    "tu vas faire quoi le flic? tu vas tirer sur un vieillar sans arme? tu vas tirer sur un civil? t'es foutu lache ton arme ,depeche toi!"

    désormais c'etait la guerre des ners,une guerre insoluble ,personne ne semblait vouloir lacher un pouce de terrain.

    "les renforts arrivent et sont surement deja la,vous etes coincés,lachez vos armes vous,vous savez bien que je ne lacherais rien"

    faut se tirer a dit l'autre mec du commando armé,c'est foutu faut se tirer,et lui on l'embarque ,a t'il ajouté, en parlant de moi.

    j'ai senti la pression se relacher,le flic a compris que j'allais tenter de sauver mon ame de cette enfer.

    j'ai relaché mes jambes d'un coup,le flic a fait feu,le truand aussi ,mais il a loupé sa cible,car plusieurs balles l'avaient deja fauché.

    un semblant de fumé planait dans l'air,avec une nouvelle fois cette odeur de poudre.

    "bande d'enculé,jvais vous crever tous" a hurlé le dernier mec du commando.

     il s'est mis a arroser les flics qui etaient a terre,j'etais au sol ,sur le cul quand il a commencé ses shoots.

    le flic qui se trouvait dans la chambre a bondi jusqu'a moi,mais trop tard,car j'ai senti,plusieurs douleur atroce sur mon coté droit. mon corps etait literallement dévoré de l'interieur par les balles brulantes qui venaient de m'atteindre.

    je me suis completement écroulé,la douleur etait atroce.

    je ne pouvais plus bouger,ni meme savoir ou j'avais été touché.j'ai roulé sur le ventre pour dire au type qui hurlait derriere moi de se taire car le gars du commando s'etait barré.

    je n'ai vu personne bouger,une marre de sang souillait le sol de l'etage 11,personne n'hurlait, a part moi... je gueulais comme un putois ,j'en finissais plus de gueuler. et quand je me suis rendu compte que ces cris venaient de moi,je me suis tut .

    un brouillar est tombé devant mes yeux....au loin j'entendais des voix:

    "c'est une crise cardiaque,dépechez vous sinon on va le perdre"

    je sais pas pourquoi ,je me suis retrouvé dehors, je surplombai un scene,yavait un attroupement autour d'un mec couché sur un trottoir devant les urgences .

     

     

     

     


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  • Commentaires

    1
    frangin
    Mercredi 8 Février 2012 à 20:28

    et alors il se passe quoi apres........

     

    2
    davidnonoise Profil de davidnonoise
    Mercredi 8 Février 2012 à 20:53

    aucunes idées pour le moment ahaha

     

    3
    gitaneardnaxela
    Mercredi 8 Février 2012 à 22:22

    le suspens est bien là, j attends la suite,:)

    4
    Samedi 11 Février 2012 à 21:14

    Lol pirouette ! C'était qu'un rêve ^^ Enfin plutôt un cauchemard !!

    Trop bien, comme d'hab' je dirais, mais t'es habitué aux compliments maintenant ;)

    5
    davidnonoise Profil de davidnonoise
    Dimanche 12 Février 2012 à 01:00

    oui en quelques sorte c'est un reve qu'il fait en faisant sa crise cardiaque

    6
    frangin
    Mardi 14 Février 2012 à 19:15

    et alors il claque de sa crise cardiaque  ou pas? sinon ca pourrait faire un truc du style destination finale (rea , et une vrai prise d'otage ) mais avec l'avantage d'avoir deja vecut l'histoire.

     

    7
    davidnonoise Profil de davidnonoise
    Mardi 14 Février 2012 à 21:36

    j'y ai pensé, le mec ne creve pas et en fait il a vu ce qui allait lui arriver!

     

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