• celibat ou pas

    Ca faisait  vingt ans que j’avais pas baisé comme ca, ma petite vie de celibataire completement epanouie me satisfaisait amplement jusqu'à ces derniers mois ou je trouvais du charme a mon propre chien ; des lors j’avais decidé de prendre en main ma vie sentimentale pour rompre pourquoi pas definitivement mon celibat endurcit
    C’était les premieres chaleurs du mois de mai, apres six mois d’un hiver rude,qui avait du faire exploser les caisses des vendeurs de fioul et autre distributeurs de gaz.
    Un temps ideal pour un pique nique en bord de mer ;
    Sur la plage j’observais les gens dans des posture plus ou moins grotesques afin de faire bronzer les parties les plus intimes de leur corps.
    Cette viande etalée me debectais la plus part du temps ;
    Ici la jeune vieille d’une cinquantaine d’années seins nu, le maillot rentré dans le cul pour parfaire un bronzage limite cancereux de l’ensemble de sa peau ;
    La, une  ado seule qui creuse le sable, sans réel but.
    Ici encore un couple qui laisse sa poussette au bord des vague ,histoire de profiter d’un moment de calme, une paisibilité reparatrice pour un couple avec un enfant en bas age.

    S’eloigner un peu de leur nouvelle vie,juste un peu ;


    Le gros bébére a cheveux long ,bedonnant, a un tel point qu’il aurait pu poser une cannette sur son ventre dans un equilibre parfait sans qu’une seule goutte ne tombe sur le sable ;
    J’etais au milieu de tout ca, un peu a l’ecart, une casquette sur mon crane fraichement rasé, pas franchement en tenu de plage mais franchement dans l’attente de celle qui , pourquoi pas changerait ma vie ;
    Ma petite vie d’agent hospitalier qui vivait toutes ses journées au milieu  des femmes…………………. Mariées, discutant de leur momes, de cette colere sourde envers leur maris qui n’en foutais pas une chez eux ; au milieu de ses femmes qui complotes  dans les allées,qui  parle discretement de la facon qu’elle ont d’esquiver leur mari quand il a une envie de calins.
    Alors le temps avait coulé sous mon pont, bien sur ces filles etaient sympas mais prise et franchement pas super desirable ,enfin pour finir une vie en tous cas ;
    Ah ! la famille redneck venaient de passer dans mon champs de vision pour venir s’affaler pitoyablement sur le sable.
     Le mari grand fan de Johnny venait de retirer son tshirt tete de loup pour exposer au monde entier son gout pour les tatouages fait main par les potes du coin . Du grand art en campagne j’aurais parié.
    Putain ils avaient au moins cinq gamins ,voir plus, la femme completement  informe,bourleteuse a souhait faisait de l’ombre a son mari ,qui lui etais d’une maigreur alcoolique phenomenale.
    Quoiqu’il en soit ma journée de plagiste commencait bien.
    Enfin les jeunes femmes prennaient possession des lieux, bon pas enormement mais juste ce qu’il fallait pour que je me rince l’œil.
    Une minette, le maillot dans le cul venait de passer devant moi avec sa copine, de suite j’ai eu l’envie de prendre mon telephone portable et d’immortaliser de fesar magistrale, le plus beau cul de la journée ; mais bon elle était déjà loin, le temps que je degaine le telephone de mon sac a dos.
    Quel cul, bon dieu quel cul, j’eu envie de suivre un peu leur randonné sableuse mais j’avais la flemme ,pis d’autre filles passeront sous les ponts comme ont dit ;
    Au loin ,pour une fois ,mon regard pointait vers lhorizon je voyais une mer calme ,un ciel azure sur une mer plutôt ragoutante, mais pas pour tout le monde,car un bon nombre de baigneur barbotaient dans la flotte, c’est clair que le cagnar du bord de plage devenait insupportable.
    Au moment ou j’ai retiré ma casquette pour m’essuier le front ,je l’ai vu , elle portait une robe jaune ,un petit haut blanc, elle se promenait chaussure a la main. ;;; seule ,du moins c’est le souhaite le plus important que j’ai pu demandais a cet instant.
    Seule, d’une beaute incroyable,elle resplendissait sur une plage degueulasse ;
    Je l’ai suivi du regard aussi longtemps que j’ai pu, mon cœur battait d’excitation, ce genre d’excitation qu’on peux eprouver quand on a en joue un sanglier en bout de course et qu’on est prêt a lui decocher une balle qui va mettre fin a ses souffrances.
    Le charme que je pouvait trouver a mon clebar ,venait de s’evaporer en une fraction de second .
    La fille en robe jaune venait de me faire replier mon bardas a la vitesse de l’eclair,comme si je prenait le depart du bol d’or dans quelques seconde.
    Peut etre la fin de mon celibat, peut etre le plus gros rateau de ma vie. Amen
    J’avais giclé de mon trone,serviette sous le bras,le pas vif,mais pas trop, bien decidé a rejoindre de loin tout du moins, cette  creature hallucinatoire ,peut etre du a une isolation imminente.
    J’ai pas eu a forcer le pas bien longtemps,elle était en vue.
    Elle prenait une rue adjascente ,la rue des commerces, des glaciers,des bars et autres lieux de gros dragueurs inveterés,qui eux attendaient les filles patiement devant une bieres ou devant  un soft drink ,pour pas avoir l’air d’alcoolo, mais en general c’était devant une biere ;
    C’était bondé de monde et j’ai du forcer a nouveau ma cadence de marche pour n’etre plus qu’a quelques brasses de sa jupe.
    Elle s’était arreté a un glacier,j’ai fais de meme, une glace a la violette serait bienvenue.
    J’était a ses cotés pour passer ma commande a la petite grosse qui allait me servir.
    Elle a pris une glace nougat cannelle. Vraiment etonnant comme melange…
    Sa voie était douce et calme ,un charme en plus de sa beauté.
    Elle a pris le temps de deguster sa glace sur le port, moi j’etais en retrait, persuadé que les yeux de tous les dragueurs du coin etaient fixés sur elle.
    Cet acces de parano m’a fais tourné la tete dans tous les sens afin de m’assuré qu’aucun lourdeaux ramenait sa fraise pour me piquer la demoiselle.
    Déjà je cogitais pour deux, elle et moi,ca m’a fais flipper.
    Une demi heure plus tard, elle s’est installée a la terasse d’un bar, j’ai suivit direct sans me poser de question, la table juste a coté.
     Pas un putain de dragueur pro en vue.
    Au fond de moi je me suis fais la promesse de ne plus me taper sexuellement que des sacs de nouilles tiede si avant qu’elle ne quitte le bar je n’avais pas reussi a l’aborder.
    En fait c’est elle qui m’a abordé.
    Elle m’a demandé l’heure ,a un moment ou j’etais completement cotonneux dans mes pensées a ellaborer les plans les plus originaux que l’homme ai pu créer pour approcher une fille ;
    J’ai donc lamentablement bafouillé,peut etre meme qu’un miserable filet de bave a coulé de ma bouche pour venir s’ecraser pitoyablement sur la table, voir  dans le deca que je venais de me faire servir.
    Je lui ai donné l’heure comme le plus empoté des blaireaux qu’elle avait du voir.
    Apres un bref remerciement de sa part, j’ai plongé la tete dans mon deca, resigné, bien decidé a le terminer au plus vite et me farcir des sacs de nouilles tiedes jusqu'à la fin de mes jours.
    « elle était bonne votre glace a la violette ? »a-t-elle dit
    Un nouveau filet de bave a du s’echapper de ma machoire beante pour encore finir sa course au fin fond de mon deca.
    J’ai donc repondu avec un aplomb hallucinant que c’était la meilleur du coin ,ce qui n’était pas faux,et j’ai meme ajouter avec une note d’humour,qu’elle devait me suivre pour en savoir autant sur ma vie.
    C’est plutôt vous plutot qui me suivait » ? elle m’a repondu
    La ,je suis rester avec le meme aplomb dont je ne me serais pas cru capable et je lui ai retorqué que non mais que peut etre que le hazzard nous avait fait prendre les meme chemins
    Sans lui laisser le temps de reflechir je lui ai demandé si je pouvais me joindre a elle,a sa table.
    Juste avant de debarquer a la plage je m’etais copieusement parfumer au titanium rouge, le seul parfum de pauvre qui pouvait faire penser a un parfum de riche. Persuadé que cette odeur qui ne m’avait jamais fait defaut ,serait toujours presente autour de mon aura naturel.
    Ce fut le cas,dans un mouvement ample j’ai brassé de l’air pour prendre ma tasse presque vide et me suis installé a ses coté ,apres son approbation,et dans un mouvement encore plus ample, du style t’as vu je sent bon moi ,pis jbois du deca, pâs une biere de  dragueur poivrot, je me suis enfin posé sur la chaise.
    On s’est presenté,son nom chantait le bonheur,son nom respirait la douceur, elle s’appelait  mathilde .
    Elle Etait drole, presque autant que moi,elle était calme, presque autant que moi,elle repondait meme a ma drague grotesque de bas etages par des pointes d’humour.
    Je lui ai proposé un plan sexuelle minable apres un mac do a l’arriere de ma voiture,elle a rit ,et a ce moment la je me suis dis que c’était bon,que nos humour correspondait ,et que mes vannes pathetiques la faisait fondre.
    J’avais pas un rond mais je lui ai proposer un petit  resto en tout bien tout honneur,juste apres qu’elle m’ai annoncer son celibat forcé apres une relation tumultueuse,avec un croupio de chantier.
    Ce fut la preuve pour moi que cette fille n’etais pas une fille de faux semblant, a la recherche du moindre friqué qui etalait sa richesse aux yeux du monde.
    Ce soir la on a fais l’amour de facon magique, j’avais mis du loreena mc kennitt chez moi quand je l’ai invitée a prendre le dernier verre tans redouté par les mecs a cause du refut qu’il pouvait engendrer.
    Donc oui on avait couché ensemble,toute la nuit ,comme toutes les autres nuits qui avaient pu suivre,c’était le paradis sur terre, une fille si belle a mes cotés ; personne n’aurait pu le croire…
    J’etais un zombie au boulot toute la journee mais je m’en foutais ;
    , elle ne bossait pas et avait elu domicile chez moi, ;
    Comme un fou completement accro je foncais,chez moi,apres le taf, de peur qu’elle ne soit partie sans laisser de trace, mais elle était la , le plus souvent devant la tele,a peine passé la porte je savais qu’elle était encore la, avec moi.
    J’etais elle ,elle était moi, je crois meme que des le premier soir j’etais tombé completement raide amoureux d’elle.
    Aux petits soins je repondais a ses moiindre caprices, mettant mon compte en banque dans le rouge voir dans le noir pour repondre a ses attentes.
    En fait quand j’y repense j’etais devenu sa merde.
    Ca peut paraitre un peut abrupte a dire mais c’était l’ultime verité avant que tout ne chavire lamentablement.

    l'amour,ah l'amour celui qui fait que tu n'es plus toi,que tu n'as plus de personalité ,que tu parles d'une facon pitoyablement mielleuse,limite un chuchotement avec le "mon amour" "mon bebe" a chaque fin de phrase.. un spectacle idylique pour un soap televisuel,mais pas pour la vie reelle.

    bref au bout d'un moment je me suis demandé pourquoi elle ne sortait pas,pourquoi elle n'occupait pas ses journées. je lui ai simplement demandé ca et elle a simplemtent hurlé sur moi,comme si depuis quelques jours elle couvait un truc qui montait en elle de plus en plus ..et la ..ca petait pour ma gueule.

    l'idyle idylique venait de prendre fin,et des lors plus n'a plus été comme avant,les tenebres ont ouvert grand leur bas squelletique pour ne plus me lancher avant d'avoir toucher l'abysse insondable de la jalousie.

    elle est donc sorti,un peu au debut ,et moi regrettant toujours mes paroles maladroites je courrais encore plus vite pour rentrer chez moi,pleins de questions sur sa journée.qui elle avait vu ,qu'est ce qu'elle avait fait?

    ses reponses .. plage,bar ,plage,salades.

    j'en croyais pas un mot ,jalousie oblige.

    moi qui etait d'un cool olympien devant elle ,ne montrant jamais cette jalousie et cette peur de la perdre,la, je ne pouvais plus le cacher et elle le voyait et en jouait.

    un soir elle m'a dit qu'elle se faisait chier avec moi.

    du noir ,mon compte en banque est passé au train de vie d'un ministre ,sans les fonds qui vont avec...........

    je planquais les lettres de creances,d'huissiers...j'ai du vendre ma caisse...plus de voiture..mais s'etait pas assez.un trou beant incomblable etait desormais le nouveau nom de mon compte en banque.

    je trimais ,j'etais a l'ecoute de ses moindres fantaisies au lit,mais le coeur n'y etait plus ,je me posais trop de questions,bien trop pour bander comme a mes debut.. misere.

    "j'ai rencontré un mec " m'a t elle dit un soir apres un coup minable au lit.

    la crise cardiaque ou la rupture d'anevrisme me guettais deja depuis plusieurs semaines et la ,j'ai pas encaissé, je me suis levé du lit d'un bond... pour m'effondrer dans la seconde qui a suivit, je crois meme que j'avais perdu connaissance avant que mon corps ne touche terre dans une position grotesque.

    poufffffffffffff plus rien.......

    reveil a l'hosto,celui ou je bossais d'ailleurs.

    ah j'en ai vu du monde defiler,presque tout le monde sauf elle. j'ai appris que s'etait mon frere qui avait deboulé chez moi apres avoir recu un appel mysterieux d'une fille qui lui avait annoncé que j'etais en proie a un malaise chez moi.  il n'a pas eu le temps de lui demander qui elle pouvait bien etre que son phone sonnait deja de la tonalité constante du "personne au bout de la ligne"

    mon tracé cardiaque devait etre pareil que cette putain de tonalité car ils ont eu du mal a me reanimer il parait.

    en fait moi jme souviens bien que je flottais au dessus de mon corps et que je l'ai vu appeler quelqu'un et qu'un mec s'etait pointé chez moi ,regardant mon corps d'un paleur mortelle ,avec un certain degout  avant de l'emballer goulument,comme moi j'avais pu le faire quelques temps auparavent .

    j'ai flotté jusqu'a l'arrivée de mon frere et des pompiers ,je les ai vu s'acharnés sur mon corps marqué par l'empreinte de la mort imminente.

    mais je suis pas mort. grosse crise cardiaque du a un surmenage ..

    j'ai mis du temps avant de sortir de l'hosto,la tete ne suivait pas ,je me livrais a personne ,cet amour qui me rongait ,personne ne l'aurait compris de toute facon.

    etat depressif sur chaque arret de travail.

    j'avais du perdre 10 kilos,mon clebs en avait prit 15 avec toutes les saloperies que je lui filait.

    lexomil,tercian,xanax,telephone coupé,facture impayées, j'ai plongé de plus en plus loin.

    ses fringues etaient toujours la dans l'appart et un soir ca a sonné a la porte.

    j'ai bondi du plumard comme a chaque fois pour regarder dans l'oeil de la porte,priant que cette sonnerie etait celle de son retour.

    c'etait elle. du moins j'ai deviné que c'etait elle.

    j'ai ouvert la porte a la volé,elle avait elle aussi perdu pas mal de poid,les yeux cernés,pas coiffée,une sale gueule.

    elle s'est mise a chialer en me voyant.

    j'ai cru distinguer un "pardon" entre son flot de larmes. j'avais pas eu le temps de me parfumer la gueule au titanium rouge,ni de me raser,ni meme de me laver, je devais puer la hyenne qui se pissait dessus tellement elle avait la flemme de se lever du lit. bon en fait je pissais dans une bouteille de flotte vide a porter de mon lit tellement je voulais pas me lever du plume.

    bref,son retour,j'ai pas su quoi lui dire ,je revoyais cette scene improbable du mec qui rentrait dans mon appart ,jetant un regards degouter sur mon corps étalé pour ensuite lui rouler la pelle du siecle sans se soucier,elle comme lui des souffle de vie qui quittaient mon corps.

    salope je crevais comme un porc et toi tu me larguais comme une merde.

    j'ai donc ecouté ses salades d'une oreille,....le mec la tabassait...vivait dans la merde.. etcetcetc.

    rien a branler son retour tans attendu etait en fait un retour vers une histoire qui etait morte depuis belle lurette.

    elle etait loin la belle pouliche en jupe ,presque le cul a l'air qui m'avait fait defaillir.

    j'etais une ombre ,mais elle aussi.

    une fois son histoire terminée je lui ai dis que tout etait fini que ses affaires l'attendais dans l'armoire.

    elle a continuer de chialer ,elle irait chez sa mere pour se refaire une santé.

    j'ai acquiesé puis elle est parti.

    je sais pas pourquoi mais je me suis rasé,lavé, j'ai vidé les bouteilles de pisse tout autour de mon lit et je me suis aspergé de titanium rouge,ce parfum de pauvre qui sentait comme un parfum de riche,et je suis sorti.

    l'air frais faisait du bien, j'avais la dalle, un truc de dingue,et soif de rhum .

    j'avais retrouvé ma taille de jeune branleur,mes frocs que j'avais du mal a fermer m'allaient  a merveille a present.

    pas un rond les huissiers au cul mon moral est remonté en fleche,a vrai dire mes envies aussi.

    il me fallait de la meuf alors je suis parti a la plage et la j'ai vu a peu prés le meme type de gens qu'au debut de cette histoire et ptetre meme bien que yaurait une meuf canon qui allait passer devant moi et que je la suivrais jusqu'au marchant de glace........

     


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  • Commentaires

    1
    Mardi 9 Août 2011 à 14:36

    Les histoires d'amour finissent mal en général .... :(

    2
    chris10
    Mardi 9 Août 2011 à 19:52

    hey oui l amour fou et ensuite un eternel recommencement

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    3
    davidnonoise Profil de davidnonoise
    Mardi 9 Août 2011 à 19:57

     bien pigé vieux crabe,exactement ca

     

     

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